De la réalité des ‘digital natives’

Sophie

Ex DirCom devenue Coach en nutrition après 20 ans à naviguer dans le secteur digital, je partage ici mon quotidien d'entrepreneure nomade. #minimalism #slowlife #geek

Pas de réponses

  1. Rémy Bigot dit :

    Hello Sophie.
    J’ai remarqué aussi pour ma part une pauvreté d’utilisation du web très importante chez les djeun’s d’aujourd’hui.
    A suivre dans le temps.

  2. Rémy Bigot dit :

    Hello Sophie.
    J’ai remarqué aussi pour ma part une pauvreté d’utilisation du web très importante chez les djeun’s d’aujourd’hui.
    A suivre dans le temps.

  3. Je suis tout à fait d’accord avec ton article : ce n’est pas parce que nous sommes « nés dedans » que nous sommes des experts. La plupart de mes « congénères » ne cherchent pas à en savoir plus sur l’outil, ne comprennent pas forcément les dangers d’une utilisation de facebook tout zazimut (imagine que l’on m’a un jour reproché d’avoir une photo de profil facebook « pas marrante » (en gros où je n’étais pas totalement déchirée) car « mais je ne vois pas pourquoi tu utilises facebook avec des contacts pro, c’est débile »)…

    Bref, la plupart des digitals natives ne sont pas des digitals experts et n’entendent pas le devenir… Ce qui m’étonnes encore c’est quand un ami me pose une question (sur n’importe quel thème) sans raison apparente alors qu’une recherche sur Google lui permet d’avoir la réponse en moins de temps qu’il n’en faut pour s’interroger…

    Je te rejoins aussi sur « l’erreur des annonceurs », et pas uniquement pour le Community Management. Récemment, j’ai été contactée par une société qui, ayant entendu que j’avais fait du bon boulot lors de mon ancien stage, voulait me rencontrer pour un entretien. Jusque là, pas d’erreur à mon sens. Sauf que, n’étant pas disponible avant plusieurs mois, la personne m’a alors proposé de prendre le poste en freelance (il ne s’agit plus du même budget, ni des mêmes responsabilités). Je suis flattée qu’une entreprise souhaite que je me charge de la totalité de leur com’ online, mais où va le monde si une entreprise est prête à confier sa communication à n’importe qui, en freelance (donc sans aucun filet), sous pretexte que « vous êtes nés dedans, vous savez mieux faire que nous »…

    Désolée, je me suis un peu étalée mais je pense que l’exemple est assez signitifatif.

  4. Je suis tout à fait d’accord avec ton article : ce n’est pas parce que nous sommes « nés dedans » que nous sommes des experts. La plupart de mes « congénères » ne cherchent pas à en savoir plus sur l’outil, ne comprennent pas forcément les dangers d’une utilisation de facebook tout zazimut (imagine que l’on m’a un jour reproché d’avoir une photo de profil facebook « pas marrante » (en gros où je n’étais pas totalement déchirée) car « mais je ne vois pas pourquoi tu utilises facebook avec des contacts pro, c’est débile »)…

    Bref, la plupart des digitals natives ne sont pas des digitals experts et n’entendent pas le devenir… Ce qui m’étonnes encore c’est quand un ami me pose une question (sur n’importe quel thème) sans raison apparente alors qu’une recherche sur Google lui permet d’avoir la réponse en moins de temps qu’il n’en faut pour s’interroger…

    Je te rejoins aussi sur « l’erreur des annonceurs », et pas uniquement pour le Community Management. Récemment, j’ai été contactée par une société qui, ayant entendu que j’avais fait du bon boulot lors de mon ancien stage, voulait me rencontrer pour un entretien. Jusque là, pas d’erreur à mon sens. Sauf que, n’étant pas disponible avant plusieurs mois, la personne m’a alors proposé de prendre le poste en freelance (il ne s’agit plus du même budget, ni des mêmes responsabilités). Je suis flattée qu’une entreprise souhaite que je me charge de la totalité de leur com’ online, mais où va le monde si une entreprise est prête à confier sa communication à n’importe qui, en freelance (donc sans aucun filet), sous pretexte que « vous êtes nés dedans, vous savez mieux faire que nous »…

    Désolée, je me suis un peu étalée mais je pense que l’exemple est assez signitifatif.

  5. Sophie Gironi dit :

    Effectivement, Hélène, ce n’est pas parce qu’on est nés dedans que l’on sait faire… En revanche, là où je voudrais modérer mon propos, c’est que lorsqu’ils sont « bons » (ie curieux et bosseurs), les digital natives nous mettent la patée 🙂

  6. Sophie Gironi dit :

    Effectivement, Hélène, ce n’est pas parce qu’on est nés dedans que l’on sait faire… En revanche, là où je voudrais modérer mon propos, c’est que lorsqu’ils sont « bons » (ie curieux et bosseurs), les digital natives nous mettent la patée 🙂

  7. Ah je suis d’accord là-dessus hein 😉

    Mais même si je pense savoir ce que je fais, que je suis à la fois bosseuse et curieuse, je me voyais mal prendre la responsabilité d’une communication online en freelance en sachant que j’ai encore à apprendre et que, dans le cas de cette entreprise, s’aurait été vraiment sans filet (aucun responsable com ou quoi que ce soit…). Je pense juste que dans ces cas-là, prendre quelqu’un avec un tout petit peu plus d’expériences est plus appropriés.

    Je suis sûre que je te blufferais sur certains points, en tant que digital native, ne t’en fais pas 😉

  8. Ah je suis d’accord là-dessus hein 😉

    Mais même si je pense savoir ce que je fais, que je suis à la fois bosseuse et curieuse, je me voyais mal prendre la responsabilité d’une communication online en freelance en sachant que j’ai encore à apprendre et que, dans le cas de cette entreprise, s’aurait été vraiment sans filet (aucun responsable com ou quoi que ce soit…). Je pense juste que dans ces cas-là, prendre quelqu’un avec un tout petit peu plus d’expériences est plus appropriés.

    Je suis sûre que je te blufferais sur certains points, en tant que digital native, ne t’en fais pas 😉

  9. En fait, concrètement ce que je voulais signifier par ces commentaires, c’est que le fait d’être un digital native n’est pas une condition suffisante en soi (en gros, ce que tu dis également dans ton article ;)).

  10. En fait, concrètement ce que je voulais signifier par ces commentaires, c’est que le fait d’être un digital native n’est pas une condition suffisante en soi (en gros, ce que tu dis également dans ton article ;)).

  11. Enseignant à des étudiants en alternance, les entreprises dans lesquelles sont embauchées mes élèves sont toujours surprises de la facilité dont les digital natives utilisent l’outil informatique et le mobile mais tout aussi perplexe de leur non compétence en matière d’informatique de bureau (écrire une lettre, faire des calculs sur un tableur…).
    Et de l’autre côté, les étudiants sont abasourdis que leurs collègues plus agés aient parfois besoin d’une semaine de formation Powerpoint…

  12. Enseignant à des étudiants en alternance, les entreprises dans lesquelles sont embauchées mes élèves sont toujours surprises de la facilité dont les digital natives utilisent l’outil informatique et le mobile mais tout aussi perplexe de leur non compétence en matière d’informatique de bureau (écrire une lettre, faire des calculs sur un tableur…).
    Et de l’autre côté, les étudiants sont abasourdis que leurs collègues plus agés aient parfois besoin d’une semaine de formation Powerpoint…